Menú Principal

Temita

Iniciado por Bambi, Mayo 09, 2006, 05:25:17 PM

Tema anterior - Siguiente tema

Dark Chaves

Ibarra a pregunta sobre la huelga de hambre de Juana Chao.

Si este paí­s ha resistido a 900 muertos podemos soportar uno más.

Bellotari dixit.

Gatinho

¿Quién hablaba del Diario Montañés?

http://www.eldiariomontanes.es/20061110/cultura/universidad-santiago-retira-franco_200611101946.html

Por no reunir méritos
La Universidad de Santiago retira a Franco el tí­tulo de Doctor Honoris Causa
El rector admite que a la USC "le gustarí­a" que las universidades de Salamanca y Coimbra siguiesen esta decisión "simbólica"
EUROPA PRESS | SANTIAGO DE COMPOSTELA

La Universidad de Santiago de Compostela (USC), a través de su Consejo de Gobierno, ha acordado hoy "por unanimidad" retirar el tí­tulo de Doctor Honoris Causa en Ciencias al dictador Francisco Franco Bahamonde por considerar que este "no reúne méritos cientí­ficos ni personales" para tal distinción y porque su concesión se hizo cuando la institución carecí­a de "autonomí­a"
Francisco Franco fue investido Doctor Honoris Causa por la Universidad de Santiago el 27 de julio de 1965, distinguido en Ciencias, pero 41 años después la institución académica de la capital gallega "lo desposee" de este reconocimiento y anuncia que comunicará su decisión a las universidades de Salamanca y Coimbra (Portugal), que también concedieron esta tí­tulo al dictador.
En declaraciones a los medios de comunicación, el rector de la USC, Senén Barro, ha explicado que, aunque la retirada de esta distinción a Franco era una cuestión que "ya se habí­a analizado en otras ocasiones", la decisión se ha tomado hoy "después de un análisis jurí­dico y documental" que la justifica.
Decisión "sin libertad"
Otro argumento es que esa concesión se hizo en el año 1965, "sin posibilidad, probablemente, de tomar otra decisión", ha indicado Senén Barro, en alusión a que la universidad, en esos tiempos, "no tení­a ninguna capacidad de ejercer su autonomí­a".
Según el texto aprobado hoy por asentimiento unánime del Consejo de Gobierno de la USC, la concesión de este honoris causa se produjo en tiempos del régimen polí­tico dictatorial del que Francisco Franco era el máximo representante y cuando "la falta de libertad y democracia" hace cuatro décadas "no eran ajenas a la Universidad".
El rector de la USC ha advertido de que no pretende revocar el actos administrativo de concesión, pero sí­ "retirar" este reconocimiento a Franco de la lista de personas honradas con el doctor honoris causa de la USC.
Enlaces Patrocinados
Telepizza - Saborea tu momento redondo

Hoy, mañana, y siempre... con el Barí§a... en el corazón.

Haku

Un grupo de encapuchados intenta quemar a un policí­a municipal en Bilbao


Dos personas han sido detenidas
      
   10-11-2006 CADENA SER / EP    
      
     Un grupo de encapuchados ha intentado quemar esta noche a un agente de la Policí­a Municipal en Bilbao. Dos personas han sido detenidas en esta nueva acción de kale borroka, el terrorismo callejero que ha rebrotado cuando el proceso para el fin de la violencia etarra pasa por un momento complicado.    
          

Sobre las ocho y cuarto de la tarde, un grupo de encapuchados bajaron hacia la Plaza Unamuno, donde varios policí­as municipales controlaban que no se llevara a cabo un botellón â€"reunión de jóvenes para beber en la calleâ€", siguiendo la normativa municipal.

Los encapuchados rociaron con gasolina a un agente, atacaron con un spray a otro en la cara y lanzaron cócteles molotov contra un vehí­culo policial. La intervención de otros policí­as con la colaboración de varios comerciantes logró responder al ataque.

En los actos violentos los radicales quemaron además dos cajeros automáticos y cruzaron varios contenedores. Al final, los agentes realizaron varias cargas.

Detenido un joven de 18 años

La Policí­a Municipal logró detener a uno de los participantes en el ataque antes de que pudiera huir. Es un joven de 18 años, vecino de Sestao (Vizcaya), que ha sido puesto a disposición de la Ertzaintza. La policí­a autónoma vasca arrestó a un segundo joven también relacionado con estos hechos.

Los incidentes registrados en el Casco Viejo de Bilbao estuvieron precedidos de una manifestación convocada por la organización juvenil radical Segi a las siete de la tarde frente a la sede del Partido Socialista de Euskadi en Bilbao.

En San Sebastián, ha habido normalidad a pesar de la manifestación prohibida por el juez de la Audiencia Nacional Baltasar Garzón. Esta marcha fue convocada para protestar por la reciente condena por amenazas al terrorista Ignacio de Juana Chaos por dos artí­culos publicados en la prensa.



Don Pésimo

Via el nickjournal de Arcadi:

Analyse
ZAPATERO-ETA : DIALOGUE EN CRISE, par Cécile Chambraud
LE MONDE | 10.11.06 | 13h32 • Mis í  jour le 10.11.06 | 13h32

Au Pays basque, José Luis Rodriguez Zapatero avance sur un fil. Le "processus" de dialogue avec l'ETA qu'il a officiellement engagé le 29 juin est déjí  en crise, avant míªme que ses représentants et ceux du groupe armé aient pu se rencontrer. A la premií¨re occasion grave - le vol, par un commando de l'organisation, de 350 armes de poing en France, le 24 octobre í  Vauvert -, voilí  le président du gouvernement espagnol sommé, y compris par une partie de ses partisans, de démontrer qu'il sait oí¹ il va et d'obtenir, avant de poursuivre, la preuve que l'ETA a bien décidé d'arríªter la "lutte armée".
Le président du gouvernement espagnol souffre d'abord de ce que le groupe armé ne donne pas précisément le sentiment d'avoir accepté la feuille de route telle que l'a résumée M. Zapatero : "La paix d'abord, la politique aprí¨s." Cela signifie que l'ETA doit apporter la preuve qu'elle renonce définitivement í  la violence avant que sa vitrine politique, Batasuna, interdite depuis trois ans, soit í  nouveau autorisée, de faí§on í  pouvoir participer í  des discussions avec les autres forces politiques sur l'évolution du cadre juridique du Pays basque. Autrement dit, l'ETA doit renoncer í  tout rí´le politique.
Le dernier texte rendu public par l'organisation clandestine, dimanche 5 novembre, atteste tout le contraire. Elle s'y plaint de ce que les discussions discrí¨tes conduites entre les partis basques, dont Batasuna, n'avancent pas assez vite et elle insiste sur la prise en compte de ses revendications, faute de quoi "le processus se romprait". Cet agacement explique que, depuis l'été, les actes de violence ne cessent pas au Pays basque. Ajoutés au braquage de Vauvert, ils placent le gouvernement dans une situation difficile. Car M. Zapatero a toujours conditionné l'ouverture de discussions í  un arríªt de tout type de violences, pas seulement des attentats.
Cette situation est mise í  profit par l'opposition. Depuis le début, les conservateurs du Parti populaire ont choisi de combattre le "processus". La droite espagnole campe sur une position simple, pour ne pas dire simpliste : l'ETA étant un groupe terroriste, l'unique politique qui vaille avec lui est la répression, les seuls instruments légitimes sont la police et la justice. Elles seules peuvent avoir raison d'une poignée d'activistes pour qui le passage í  la démocratie, en Espagne, n'a rien changé, et dont toute l'histoire montre qu'ils ne renonceront jamais í  leur objectif : obliger Madrid et les Basques eux-míªmes í  consentir í  l'indépendance d'un Pays basque englobant la Navarre et le Pays basque franí§ais. Avec l'ETA, seul un processus de reddition peut-íªtre discuté.
Non seulement les conservateurs refusent leur soutien í  la démarche du chef de l'exécutif, mais ils lui livrent une guerre quotidienne, misant ouvertement sur son échec dans la perspective des élections législatives de 2008. Or certaines de leurs positions rencontrent celles de l'opinion majoritaire des Espagnols sur quelques-uns des sujets que le processus, s'il prospí¨re, abordera nécessairement. Les Espagnols sont par exemple hostiles í  l'idée de concessions en échange de l'arríªt de la violence, í  celle d'autodétermination ou au rapprochement de la Navarre et du Pays basque. Ils sont également peu disposés í  ce que l'on accélí¨re la sortie de prison d'"etarras" condamnés, en particulier ceux qui ont commis des crimes de sang.
Ce n'est pas pour rien que le Parti populaire accuse le gouvernement d'íªtre secrí¨tement disposé í  faire des concessions politiques í  l'ETA. Les "populaires" en veulent pour preuve la table ronde politique que les socialistes, affirme la droite, seraient príªts í  concéder au nationalisme violent avant que le groupe ait effectivement été privé de ses moyens d'agir. Le but de cette future table ronde est, selon les termes de M. Zapatero, de dessiner "un grand accord de coexistence politique" au Pays basque. Ce lieu de négociation est l'une des demandes centrales de l'ETA, qui veut conduire les partis í  y discuter ses revendications. Son fonctionnement et son contenu sont, depuis plusieurs semaines, négociés í  couvert par le PS basque, le Parti nationaliste basque (PNV), qui dirige la région depuis vingt-huit ans, et Batasuna.

"CONFLIT POLITIQUE"
Cette table ronde est au coeur du problí¨me, car elle revient í  poser la question : existe-t-il un "conflit politique" au Pays basque ? C'est évidemment la thí¨se du nationalisme radical, selon lequel l'Espagne maintient le Pays basque dans la sujétion en lui interdisant de choisir son destin. L'ETA et sa mouvance ont toujours établi un parallí¨le avec la situation de l'Irlande du Nord et de l'IRA. L'essentiel des élus socialistes et conservateurs, les associations de victimes, les plates-formes citoyennes, nées depuis huit ans pour combattre la violence, rejettent radicalement cette comparaison. Pour eux, l'Ulster et l'Euskadi n'ont rien í  voir.
Ils rappellent que les Basques ont choisi leur avenir lorsqu'ils ont voté en faveur de la Constitution espagnole de 1978 puis du statut qui accorde í  leur région une autonomie sans égale en Europe. Ils font valoir que les Basques sont traditionnellement partagés, í  peu prí¨s í  parts égales, comme le prouvent toutes les élections, entre nationalistes (ce qui ne veut évidemment pas dire partisans de l'ETA) et non nationalistes. Le problí¨me du Pays basque, argumentent-ils, n'est pas sa relation í  l'Espagne. Il est qu'un groupe armé tente de faire taire ses adversaires politiques par la terreur. "S'il n'y a pas de conflit, il ne peut pas y avoir de processus de paix", résume le philosophe Fernando Savater, l'un des fondateurs de l'association ¡Basta ya ! (í‡a suffit !).
C'est pourtant bien d'un "processus de paix" que parle aujourd'hui le gouvernement espagnol. C'est bien le parallí¨le irlandais que M. Zapatero accrédite lorsqu'il met en scí¨ne le parrainage de Tony Blair. Le choix des mots et des modí¨les peut incommoder. Il peut aussi íªtre tactique. Dans l'un et l'autre cas, il contribue í  brouiller la lisibilité de la démarche de M. Zapatero. Pour toute réponse, le chef de l'exécutif répí¨te que le "processus" sera soumis í  un principe absolu, celui du respect de la légalité. Cela limite, par exemple, les possibilités de référendum ou, dans un autre registre, des réductions de peines de prison.
Dans le contexte difficile de ces dernií¨res semaines, l'argument semble un peu court í  certains. Le 27 octobre, le quotidien El Paí­s, pourtant partisan du processus et favorable au chef de l'exécutif, a mis M. Zapatero en demeure de donner des "indications sur sa feuille de route", ne serait-ce que pour prouver qu'elle existe, et de ne pas se contenter de demander "un acte de foi permanent" aux Espagnols. Voici M. Zapatero dangereusement placé í  la merci de nouveaux agissements de l'ETA.
Cécile Chambraud
--------------------------------------
Découvrez les réactions des abonnés du Monde.fr í  la lecture de cet article.

SANCHO
10.11.06 | 23h54
D'abord le PB n'a JAMAIS été indépendant, ensuite, míªme en additionnant les modérés et les radicaux les indépendantistes sont trí¨s largement minoritaires. La Navarre? Elle ne veut pas entendre parler d'une annexion. Le PB franí§ais encore moins. C'est comme si demain la LCR ayant pris les armes réclamait comme prix de la paix que l'Etat proclame qu'il deveint un Etat ouvrier révolutionnaire. J'ajoute que l'ETA a une vision ethniciste et donc raciale, pour ne pas dire raciste, de la basquitude.


PAUL S.
10.11.06 | 20h29
La question n'est pas de savoir s'il plairait a la France que le pays basque francais la quitte, ces decisions sont toujours dechirantes et ne s'acceptent que faute d'alternative. Aujourd'hui l'Espagne devrait commencer a se resoudre a ce que Euzkadi fasse secession, pour maintenir la paix civile si cela arrive (donc pacifier le terrorisme). Nulle part, jamais, la violence d'Etat n'a empeche une secession lorsque le peuple la veut. Meme le PP le sait, mais il trompe ses electeurs.

BAI
10.11.06 | 18h50
Oí¹ avez-vous vu cette affaire de 4 grands parents pour voter ? Ce n'est pas le droit du sang allemand ! Le Pays basque au sud de la Bidasoa est la région la plus autonome d'Europe et respecte le droit et la démocratie. La Navarre aura plus de liens si son Parlement le décide, pas autrement. En Pays basque franí§ais, c'est prí¨s de 15% (en Navarre 25 % et dans la Communauté Autonome Basque 55 %)qui votent pour une coopération basque trí¨s forte entre les sept provinces suivie d'une unification.

ACCEPTERIEZ VOUS?
10.11.06 | 18h15
Accepterait la FR donner l'indépendance au P Basque FR pour calmer l’ETA? Accepterait le gouvern FR de négocier avec l’ETA sur le sujet, d’égal í  égal? L’ETA dit que l’annexion de Navarre et le P Basque FR est irenonciable. Et que dans le futur P Basque indépendant, seulement les gents avec leurs 4 grands-parents basques auront la nationalité basque avec de droit de vote, les restes étant des étrangers. Cette négociation risque de finir dans l’écoulement de l’état démocratique et de droit.

ACCEPTERIEZ VOUS?
10.11.06 | 16h10
"Les Espag sont..hostiles..au rapprochement de la Navarre et du P Basque". Nuance: les Espagnols sont hostiles í  imposer í  la Navarre une union avec le P Basque que le parlement Navarre a radicalement refusé í  plusieurs reprises. C'est pour contenter les délires de l'ETA q'on doit forcer les navarres ? Par ailleurs, l'ETA veut aussi l'annexion du P Basque franí§ais í  un nouvel état basque indépendant. Mois de 1% des basques Fr le veulent. Accepterait la Fr de les oublier pour calmer l’ETA ?
Me cago en el Sistema Solar

Auma

Cita de: alvaro en Noviembre 10, 2006, 08:01:15 PM
Cita de: Auma en Noviembre 10, 2006, 07:56:50 PM
Cita de: alvaro en Noviembre 10, 2006, 07:51:12 PM
De Pértur pues me quedo con la versión de la familia del zagal, que dice que mantení­a tensiones jevimetal con sectores de la banda a raí­z de sus posturas contrarias a convertir a ETA en la vergí¼enza del Paí­s Vasco. Y que es bastante probable que se lo cargaran ellos. La Triple A creo que dejaba los cadáveres fresquitos sobre la mesa, no desaparecí­an. Ahora cuéntame la Verdad Auténtica. Verdad o mentira, sobre la que no hay dudas es sobre Yoyes.

Trece, habrí­a que haber hecho lo imposible por que Kurt no muriera. Si por algo han destacado los grunges es por ser aún más divos que las estrellonas ochenteras a las que querí­an apartar para dar llegada a la Verdadera Autenticidad.


Ya, me extraña que no lo hubieran reivincado, no es muy propio de ellos.




Pero quién mató a Pertur, que me has pedido que te diga "mi versión" como teniendo una tuya. ¿Cuál es?

Tengo varias, la primera es que este jugando al mus con Elvis, en alguna isla del caribe. Otra que lo congelaran junto a Disney para revivirlo en el siglo que viene.

Y la ultima, pues simplemente que le limpiara el forro alguna de las  organizaciones tipo Batallon Vasco Español, etc.
Aunque tembien me extraña que nadie reivindicara la muerte.

popotez

El periódico republicano Gara se posiciona en su editorial de hoy, que resumo:



la oportunidad sigue abierta y serí­a una irresponsabilidad histórica desaprovecharla. Hay que superar los graves obstáculos que bloquean el camino. Y esa es una tarea compartida


Ramoneda, por su parte, echa la culpa a la eta de lo que pueda pasar hoy en el periódico monárquico El Paí­s.
Dentro de un año estaremos mejor

Bambi

#621


Un ex preso etarra, que fue compañero de cárcel de Iñaki De Juana Chaos, ha remitido a la Cadena SER una carta abierta a favor de la negociación y en la que arremete con dureza contra De Juana Chaos por estar dificultando el proceso. Este ex etarra, que prefiere guardar el anonimato, le acusa de egocentrista y de estar manipulando a un pueblo que quiere una paz justa, y a unos jóvenes que irán a la cárcel por seguir sus directrices. A continuación, reproducimos el texto í­ntegro de esta carta.

¡Ay Iñaki! ¿Jamás cambiarás?, existió ETA(pm), ahora ETA y parece que has inscrito a la nueva ETA (De Juana Chaos) debido a que vas por libre desde hace tiempo, bueno por libre, quizá amparado y asesorado por tu abogado y colega Iñako Goioaga.

Cuando en el 88 estabas en Meco y las fuerzas entre las dos tendencias estaban equilibradas (aquellas que deseaban conseguir un estatus mejor y salir cuanto antes a la calle y en contrapartida las que liderabais mantener la lucha dentro de la cárcel) tu, entre otros, pusiste en marcha el ventilador y procuraste clasificar a cada cual bajo tu punto de vista: Quejas y presiones a la Dirección de ETA, chivateos a los abogados, extorsiones a muchos compañeros, lí­neas a seguir, clasificación de presos del colectivo como militantes y simpatizantes, dependiendo de su historial en la calle, intentos de que se actuase ante algún compañero que otro que no se doblegó a tus imposiciones (recuerdas como instigabas a la masa a hacer algo con Zumai, la manzana podrida de la organización según tú y mas cáncer que Yoyes, pero, sin embargo y a pesar de estar en el mismo módulo, no tuviste testiculina de hacer nada personalmente al respecto). En fin, todo un compendio de estrategia sibilina y manipuladora de cara a conseguir un encabronamiento generalizado que llenase tu amplio ego.

Cuando a finales del 88 se puso en marcha la dispersión ordenada por Múgica Herzog y apoyada por Arzalluz (parece que leyeron tu pensamiento y acabaron con las dos tendencias de un manotazo) fuiste pasando de prisión en prisión, dejando tu impronta, o sea, el cabreo generalizado de funcionarios y compañeros. Nadie te ha dicho nada, pero cuando tu llegabas a una prisión nueva, aquellos que llevaban tiempo en ella y viví­an, digamos honestamente y en equilibrio, se echaban a temblar, ya que no sabí­an en que rollo les meterí­as y cuanto tiempo podrí­an aguantar con la tregua tácita establecida entre guardias y presos; como ejemplo Canarias, que hasta tu llegada se viví­a en equilibrio, en el que funcionarios, presos y familiares sobrellevaban el dí­a a dí­a sin sobresaltos. Tu llegada fue como la lluvia fina que no moja de repente pero cala hasta los huesos, destrozaste aquella convivencia de tal manera, que acabó como el rosario de la aurora y ya jamás aquella cárcel volvió a ser la misma y hoy se la considera como una prisión de castigo.

"Pasas el dí­a mirándote al ombligo

Eres un protagonista nato y pasas el dí­a mirándote al ombligo, mucho más ahora que eres leí­do ya que has escrito varios libros y para ello has aplicado la visión del ego centrista: yo, yo, yo, yoooooooooo. Por supuesto que habrás leí­do, en 19 años te ha dado tiempo a ello, pero creo que tus lecturas no han sido bien aconsejadas para ti, aunque perfectas para tu colega Iñako. Me atrevo a decirte que un mucho de psicologí­a, otro de psicoanálisis y gran cantidad de literatura sobre conducta y comportamiento te hubieran hecho otro hombre, como reza la tesis revolucionaria que dices que crees.

Tus actitudes, tus huelgas de hambre, tus desafí­os, tus amenazas, tus cartas, tus crueles instancias oficiales riéndote del dolor ajeno (¿recuerdas aquella que pedí­as cava y marisco para celebrar la muerte de una pareja a manos de ETA?, por aquella vileza si que debieron meterte una dura condena, sobre todo por falta de humanidad y ética) te han llevado a un callejón sin salida y estás llegando a poner en peligro, con todo ello, una salida al conflicto y una reactivación de la lucha armada, bien sea callejera o de alta intensidad, a no ser que estés siguiendo las directrices de tu abogado, que mucho aprieta a los demás pero el no se moja ni para ducharse.

La huelga de hambre

Has pasado 63 dí­as de huelga de hambre por que no te han puesto en libertad cuando tú considerabas que era tu tiempo cumplido. Te juzgan por dos cartas prepotentes que tu vanidad te obligó a escribir (que conste que no estoy de acuerdo con que te juzguen por ello y menos que te condenen, pero bien sabes que no va el asunto por ahí­ y que las cartas son la excusa) con las cuales, no sólo jodiste tu salida sino la de otros muchos que vení­an detrás y me imagino que ya te habrán dado las collejas necesarias para que te enmiendes, ¿haces la huelga de hambre por ello?, ahora te condenan a 12 años más y vuelta a la gose greba.

Seamos claros, me importan tres cojones que te pongas en huelga de hambre, que hagas el pino, que incluso ello te lleve a la muerte, ya que es tu decisión personal y tienes derecho a hacer con tu vida lo que quieras, la vida es tuya y tu eres su máximo responsable, pero una vez que dejo claro esto tengo que decirte que no te consiento que engañes y manipules a nadie excepto a ti y mucho menos a un pueblo que quiere una paz justa y costosa y a unos jóvenes que irán a la cárcel por seguir tus directrices, para lo cual quiero dejarte claras algunas cosas de tu conducta que rebatirán tu salida de la cárcel y tus presiones infantiles, claro está, si todaví­a mantienes tu dignidad revolucionaria y no la usas sólo para dar pena y soliviantar a las masas.

Contra las medidas de reinserción

Estarás conmigo que tú votaste en repudiar a compañeros por acogerse a las medidas de reinserción y que practicaste el desprecio hacia ellos, en que has sido claro defensor de no recurrir los partes disciplinarios, de no solicitar ningún tipo de redención que acortase la condena ya que esto suponí­a entrar en el juego institucional y por lo tanto colaborar con nuestros verdugos.

Si tú entraste en prisión en el 87 y la acumulación de tus largas penas equivalen a 30 años, te corresponderí­a salir en 2.017 y si no me equivoco estamos en 2.006. ¿Qué ocurre?, ¿Qué pasa? ¡Ah!, ¿que has conseguido redenciones en estos años? En que quedamos, que uno es traidor con la causa y colaborador con el enemigo si lo hace. ¡Ah! ¿Que para ti no?, ¡vaya!, veo que hay dos varas de medir. ¿Y tus principios revolucionarios, donde quedan?.

¡Vaya cara que tienes tí­o!, ¡el mundo va mas allá de tu ombligo!, ¡déjate de simplezas y échale coraje colega!, un par de lo que hay que tener y para todos mejor. Un dí­a de luto, otro de lucha y 50 de juerga.

Agur : NEGOZAZIOAREN ALDE (Adiós: A favor de la negociación).

Ictí­neo

Mencionar "me importan tres cojones" y hay que "tener un par" de esto y de lo otro vuelve a demostrar una vez más que un vasco es un español al cubo (y no solo me remito a la forma de su cabeza).

pescadilla

#623
Cita de: alvaro en Noviembre 13, 2006, 03:37:42 PM


Un ex preso etarra, que fue compañero de cárcel de Iñaki De Juana Chaos, ha remitido a la Cadena SER una carta abierta a favor de la negociación y en la que arremete con dureza contra De Juana Chaos por estar dificultando el proceso. Este ex etarra, que prefiere guardar el anonimato, le acusa de egocentrista y de estar manipulando a un pueblo que quiere una paz justa, y a unos jóvenes que irán a la cárcel por seguir sus directrices. A continuación, reproducimos el texto í­ntegro de esta carta.

¡Ay Iñaki! ¿Jamás cambiarás?, existió ETA(pm), ahora ETA y parece que has inscrito a la nueva ETA (De Juana Chaos) debido a que vas por libre desde hace tiempo, bueno por libre, quizá amparado y asesorado por tu abogado y colega Iñako Goioaga.

Cuando en el 88 estabas en Meco y las fuerzas entre las dos tendencias estaban equilibradas (aquellas que deseaban conseguir un estatus mejor y salir cuanto antes a la calle y en contrapartida las que liderabais mantener la lucha dentro de la cárcel) tu, entre otros, pusiste en marcha el ventilador y procuraste clasificar a cada cual bajo tu punto de vista: Quejas y presiones a la Dirección de ETA, chivateos a los abogados, extorsiones a muchos compañeros, lí­neas a seguir, clasificación de presos del colectivo como militantes y simpatizantes, dependiendo de su historial en la calle, intentos de que se actuase ante algún compañero que otro que no se doblegó a tus imposiciones (recuerdas como instigabas a la masa a hacer algo con Zumai, la manzana podrida de la organización según tú y mas cáncer que Yoyes, pero, sin embargo y a pesar de estar en el mismo módulo, no tuviste testiculina de hacer nada personalmente al respecto). En fin, todo un compendio de estrategia sibilina y manipuladora de cara a conseguir un encabronamiento generalizado que llenase tu amplio ego.

Cuando a finales del 88 se puso en marcha la dispersión ordenada por Múgica Herzog y apoyada por Arzalluz (parece que leyeron tu pensamiento y acabaron con las dos tendencias de un manotazo) fuiste pasando de prisión en prisión, dejando tu impronta, o sea, el cabreo generalizado de funcionarios y compañeros. Nadie te ha dicho nada, pero cuando tu llegabas a una prisión nueva, aquellos que llevaban tiempo en ella y viví­an, digamos honestamente y en equilibrio, se echaban a temblar, ya que no sabí­an en que rollo les meterí­as y cuanto tiempo podrí­an aguantar con la tregua tácita establecida entre guardias y presos; como ejemplo Canarias, que hasta tu llegada se viví­a en equilibrio, en el que funcionarios, presos y familiares sobrellevaban el dí­a a dí­a sin sobresaltos. Tu llegada fue como la lluvia fina que no moja de repente pero cala hasta los huesos, destrozaste aquella convivencia de tal manera, que acabó como el rosario de la aurora y ya jamás aquella cárcel volvió a ser la misma y hoy se la considera como una prisión de castigo.

"Pasas el dí­a mirándote al ombligo

Eres un protagonista nato y pasas el dí­a mirándote al ombligo, mucho más ahora que eres leí­do ya que has escrito varios libros y para ello has aplicado la visión del ego centrista: yo, yo, yo, yoooooooooo. Por supuesto que habrás leí­do, en 19 años te ha dado tiempo a ello, pero creo que tus lecturas no han sido bien aconsejadas para ti, aunque perfectas para tu colega Iñako. Me atrevo a decirte que un mucho de psicologí­a, otro de psicoanálisis y gran cantidad de literatura sobre conducta y comportamiento te hubieran hecho otro hombre, como reza la tesis revolucionaria que dices que crees.

Tus actitudes, tus huelgas de hambre, tus desafí­os, tus amenazas, tus cartas, tus crueles instancias oficiales riéndote del dolor ajeno (¿recuerdas aquella que pedí­as cava y marisco para celebrar la muerte de una pareja a manos de ETA?, por aquella vileza si que debieron meterte una dura condena, sobre todo por falta de humanidad y ética) te han llevado a un callejón sin salida y estás llegando a poner en peligro, con todo ello, una salida al conflicto y una reactivación de la lucha armada, bien sea callejera o de alta intensidad, a no ser que estés siguiendo las directrices de tu abogado, que mucho aprieta a los demás pero el no se moja ni para ducharse.

La huelga de hambre

Has pasado 63 dí­as de huelga de hambre por que no te han puesto en libertad cuando tú considerabas que era tu tiempo cumplido. Te juzgan por dos cartas prepotentes que tu vanidad te obligó a escribir (que conste que no estoy de acuerdo con que te juzguen por ello y menos que te condenen, pero bien sabes que no va el asunto por ahí­ y que las cartas son la excusa) con las cuales, no sólo jodiste tu salida sino la de otros muchos que vení­an detrás y me imagino que ya te habrán dado las collejas necesarias para que te enmiendes, ¿haces la huelga de hambre por ello?, ahora te condenan a 12 años más y vuelta a la gose greba.

Seamos claros, me importan tres cojones que te pongas en huelga de hambre, que hagas el pino, que incluso ello te lleve a la muerte, ya que es tu decisión personal y tienes derecho a hacer con tu vida lo que quieras, la vida es tuya y tu eres su máximo responsable, pero una vez que dejo claro esto tengo que decirte que no te consiento que engañes y manipules a nadie excepto a ti y mucho menos a un pueblo que quiere una paz justa y costosa y a unos jóvenes que irán a la cárcel por seguir tus directrices, para lo cual quiero dejarte claras algunas cosas de tu conducta que rebatirán tu salida de la cárcel y tus presiones infantiles, claro está, si todaví­a mantienes tu dignidad revolucionaria y no la usas sólo para dar pena y soliviantar a las masas.

Contra las medidas de reinserción

Estarás conmigo que tú votaste en repudiar a compañeros por acogerse a las medidas de reinserción y que practicaste el desprecio hacia ellos, en que has sido claro defensor de no recurrir los partes disciplinarios, de no solicitar ningún tipo de redención que acortase la condena ya que esto suponí­a entrar en el juego institucional y por lo tanto colaborar con nuestros verdugos.

Si tú entraste en prisión en el 87 y la acumulación de tus largas penas equivalen a 30 años, te corresponderí­a salir en 2.017 y si no me equivoco estamos en 2.006. ¿Qué ocurre?, ¿Qué pasa? ¡Ah!, ¿que has conseguido redenciones en estos años? En que quedamos, que uno es traidor con la causa y colaborador con el enemigo si lo hace. ¡Ah! ¿Que para ti no?, ¡vaya!, veo que hay dos varas de medir. ¿Y tus principios revolucionarios, donde quedan?.

¡Vaya cara que tienes tí­o!, ¡el mundo va mas allá de tu ombligo!, ¡déjate de simplezas y échale coraje colega!, un par de lo que hay que tener y para todos mejor. Un dí­a de luto, otro de lucha y 50 de juerga.

Agur : NEGOZAZIOAREN ALDE (Adiós: A favor de la negociación).


la verdad es que he flipado con la carta, el tí­o ha sido muy crí­tico, pero mucho....y valiente, que la cosa requiere más huevos que decirle hijodeputa a el de la 13 en el foro areopago (por poner un ejemplo ilustrativo, sin acritud ni animus ofendi)

Haku

Cita de: alvaro en Noviembre 13, 2006, 03:37:42 PM


Tus actitudes, tus huelgas de hambre, tus desafí­os, tus amenazas, tus cartas, tus crueles instancias oficiales riéndote del dolor ajeno (¿recuerdas aquella que pedí­as cava y marisco para celebrar la muerte de una pareja a manos de ETA?, por aquella vileza si que debieron meterte una dura condena, sobre todo por falta de humanidad y ética) te han llevado a un callejón sin salida y estás llegando a poner en peligro, con todo ello, una salida al conflicto y una reactivación de la lucha armada, bien sea callejera o de alta intensidad, a no ser que estés siguiendo las directrices de tu abogado, que mucho aprieta a los demás pero el no se moja ni para ducharse.



Claro, si, una total falta de humanidad y etica.

Menos mal que aun quedan asesinos como el (con toneladas de etica y humanidad) que no hacen esas cosas.






Haku

Cita de: pescadilla en Noviembre 13, 2006, 07:05:39 PM

la verdad es que he flipado con la carta, el tí­o ha sido muy crí­tico, pero mucho....y valiente, que la cosa requiere más huevos que decirle hijodeputa a el de la 13 en el foro areopago (por poner un ejemplo ilustrativo, sin acritud ni animus ofendi)

Oiga, no meta usted cizanya que el Rasputin con barretina se llego a creer que iba en serio.

Bambi

Cita de: pescadilla en Noviembre 13, 2006, 07:05:39 PM


la verdad es que he flipado con la carta, el tí­o ha sido muy crí­tico, pero mucho....y valiente, que la cosa requiere más huevos que decirle hijodeputa a el de la 13 en el foro areopago (por poner un ejemplo ilustrativo, sin acritud ni animus ofendi)

Hombre, hace falta valor. Pero para huevos, mis baremos exigen que sólo se tienen cojones si se firma. Porque sabemos que esta carta es de un etarra porque nos lo dice la Ser. Si el tí­o firma: Banabil Dí­az de Vivar. Aquí­ están mis cojones. Es otra cosa.

zruspa

Ése no apuesta en 10000 a 1, por lo que se ve.

Haku

Cita de: alvaro en Noviembre 13, 2006, 07:35:18 PM
Cita de: pescadilla en Noviembre 13, 2006, 07:05:39 PM


la verdad es que he flipado con la carta, el tí­o ha sido muy crí­tico, pero mucho....y valiente, que la cosa requiere más huevos que decirle hijodeputa a el de la 13 en el foro areopago (por poner un ejemplo ilustrativo, sin acritud ni animus ofendi)

Hombre, hace falta valor. Pero para huevos, mis baremos exigen que sólo se tienen cojones si se firma. Porque sabemos que esta carta es de un etarra porque nos lo dice la Ser. Si el tí­o firma: Banabil Dí­az de Vivar. Aquí­ están mis cojones. Es otra cosa.

Bueno Alvarez, es que la costumbre de ir encapuchados y mandar anonimos amenazantes no se quita de un dia para otro.

Ictí­neo

Cita de: alvaro en Noviembre 13, 2006, 07:35:18 PM
Hombre, hace falta valor. Pero para huevos, mis baremos exigen que sólo se tienen cojones si se firma. Porque sabemos que esta carta es de un etarra porque nos lo dice la Ser. Si el tí­o firma: Banabil Dí­az de Vivar. Aquí­ están mis cojones. Es otra cosa.

Supongo que pescadilla con la emoción se le ha pasado ese detalle.


¡Pero sigue siendo un supervasco!, ¡ole sus no-cojones!